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  • LE COMITE STRATEGIQUE A51 ATTEND TOUJOURS D’ETRE RECU A L’ELYSEE

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    Le Comité Stratégique pour l’A 51 s’est réuni à Sisteron, le Lundi 10 octobre 2011, sous la co-présidence de M. Daniel SPAGNOU, Maire de Sisteron, Député des Alpes-de-Haute-Provence, et de M. Pierre BERNARD-REYMOND, Sénateur des Hautes-Alpes. Le Comité a été unanime pour regretter que les demandes d’audience formulées auprès de Monsieur le Président de la République, par trente-deux parlementaires dont cinq anciens Ministres, et par tous les Présidents de Chambres Consulaires : Commerce, Industrie et Métiers des deux régions concernées Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte-d’Azur, n’aient pas reçu un accueil favorable. Les intéressés n’ont pas jugé utile de répondre à l’invitation du Ministre délégué aux Transports qui, bien que favorable à l’A 51, n’a pas autorité pour prendre une décision dans ce sens. En conséquence, le Comité a décidé de renouveler solennellement une demande d’audience auprès du Président de la République. Ils restent très déterminés sur la nécessité de réaliser ce chaînon manquant autoroutier ; plusieurs participants ont annoncé qu’ils conditionneraient leurs votes ultérieurs à cette question. Ils rappellent que l’amélioration de la Route Nationale 85, compte tenu du relief, ne peut en aucun cas constituer une vraie alternative à l’éventuel abandon du projet autoroutier. Ils ont, par ailleurs, compris et approuvé l’attitude du Sénateur Pierre BERNARD-REYMOND qui a donné sa démission de l’U.M.P. Ils regrettent très vivement que depuis quatre ans aucune délégation des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence et de l’Isère n’ait pu être reçue par des membres de l’exécutif en capacité de prendre une décision : Président de la République, Premier Ministre ou Ministre de l’Ecologie : situation nouvelle par rapport à tous les Gouvernements antérieurs qui avaient manifesté une écoute attentive sur cette question. Ils rappellent que ce dossier ne pose pas de problème sur le plan financier, technique ou de l’environnement. Ils n’admettent pas que les territoires et les populations qu’ils représentent soient traités de façon aussi désinvolte que doctrinaire et qu’aucun dialogue ne puisse se nouer sur une question qui conditionne l’avenir des communications dans tout le sud-est français.

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