• Blog/Actualités
  • Votre Maire
  • La circonscription des Alpes de Haute Provence
  • ÉLECTIONS MUNICIPALES Mars 2020
  • Contacts
  • MAGNIFIQUE POEME DE MONSIEUR GILBERT DUMAS

    A l’occasion de l’émission Midi en France récemment tournée à Sisteron, un des nombreux téléspectateurs, Monsieur Gilbert DUMAS, domicilié Résidence La Margotine – Quartier Brûlats 26 800 Portes lès Valence (tel : 06.47.14.49.97). a eu la gentillesse de me transmettre une série de poèmes sur les animaux et ma félicité d’être comme lui un ami des animaux.

    Les poèmes sont tellement beaux que je ne peux m’empêcher d’en sélectionner un, pour vous faire profiter du talent de Monsieur DUMAS.

     

    J’AI FAIT UN RÊVE !

    Depuis si longtemps que je dors devant cette porte,

    Personne ne m’a jamais réveillé, du moins de la sorte.

    J’ai à peine entendu, comme un souffle court et doux,

    J’ai vu un visage d’Ange, celui d’une fille, à genoux.

     

    Ses mains tremblaient, ses yeux sombres étaient noyés,

    Elle avait peine à respirer, j’entendais des mots étouffés.

    Elle m’a pris dans ses bras, comme on porte un enfant,

    Nous sommes restés là, blottis ensemble… longuement.

     

    Pour rien au Monde je n’aurais bougé, j’étais si heureux,

    Depuis plus de six ans que j’attendais là, si malheureux,

    Que quelqu’un vienne m’aimer, subitement, gratuitement,

    Sans pouvoir me parler, de son cœur et de ses sentiments.

     

    Tant pis si je n’aurais pas dû, mais je l’ai pris cet Amour,

    Il était si sincère, irradiant de Bonheur ma vie de ce jour.

    Et maintenant je sais, que la vie ne permet pas souvent,

    De garder près de nous, quelques Merveilleux moments.

     

    La réalité fut un réveil brutal, le cri d’un adjudant colérique,

    Ramenant au service un soldat endormi sur une relique.

    Elle était une petite stagiaire bénévole, un peu trop apitoyée,

    Sur la vie d’un vieux chien abandonné que l’on devait piquer.

     

    Pardonnez-moi, Messieurs-dames, elle était Belle, j’étais laid,

    Mais la beauté est éphémère, il n’y a pas que cela qui plait.

    Et je ne sais par quelle chance, mon petit cœur était entré,

    Dans le sien qui, il me semble, aurait tout fait pour le soigner !

     

    Les commentaires sont fermés.