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  • L’émouvant hommage de Daniel Spagnou à Corinne Le Poulain

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    « On ne se console pas de la mort de quelqu’un qu’on aime. » C’est avec cette phrase de Michel Houellebecq que Daniel Spagnou a remercié les nombreux amis de Corinne Le Poulain, présents samedi soir à l’hôtel de ville de Sisteron, afin de rendre un dernier hommage à celle qui chérissait cette ville plus que tout. L’émotion était palpable en présence de Julia Duchaussoy, sa fille, d’André Matheron son époux, Christine De La Roche, Gérard Colombani, Françoise Magnan, Mme Leenhardt ou encore le juge Latapie… mais aussi Eliane Barreille conseiller régional, Serge Sardella et Isabelle Morineau conseillers départementaux…
    Fidèle aux Nuits de la Citadelle et à toutes les manifestations majeures de Sisteron, Corinne Le Poulain, disparue bien trop tôt en début d’année, laisse un grand vide dans cette ville qu’elle aimait sillonner, tout comme dans les nombreux coeurs qui lui sont restés fidèles autour de Daniel Spagnou samedi soir.
    Un bref film vidéo et des photos sont venus rappeler la carrière remarquable de la comédienne passionnée de théâtre, mais aussi faire revivre cette beauté et cette joie de vivre qu’elle incarnait. Des images parfois trop fortes pour Julia qui préférait parfois baisser les yeux afin d’emprisonner et surtout retenir une larme.
    Molière, Guitry, Feydeau, Colette ou Shakespeare… Corinne Le poulain les a tous interprétés, passant avec la même facilité et le même bonheur des auteurs classiques jusqu’au théâtre de boulevard. Un don rare qui lui a permis de se distinguer aussi bien dans « Splendeur et misère des courtisanes » ou « Othello » que dans « Plus belle la vie ».
    Daniel Spagnou lui avait remis il y a 3 ans les insignes de Chevalier dans l’Ordre national du mérite lors d’une belle cérémonie. Samedi soir, c’est l’amie que le maire de Sisteron a souhaité remercier pour sa gentillesse et sa fidèlité à la ville.
    Se souvenant aussi de ses fous rires impayables lorsqu’elle prenait qyuelques jours de vacances à Barcelonnette, Daniel Spagnou devait ajouter : « Lorsque certaines de ses mimiques me reviennent à l’esprit, alors il me vient l’envie de rire, rire, rire à en pleurer ! »

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