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  • 11 NOVEMBRE : NE JAMAIS OUBLIER

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    C’est par une messe avec drapeaux et la Sonnerie aux Champs interprétée par Bruno FRASSANITO que débutait, vendredi 11 novembre dernier, la cérémonie commémorative du 98ème anniversaire de l’Armistice de la première guerre mondiale de 1914 – 1918. En présence du Sénateur Jean-Yves ROUX, de la Conseillère Départementale Isabelle MORINEAUD, des représentants des Associations Patriotiques et de leur drapeau, des représentants de la Gendarmerie Nationale, de la Police Municipale, des Sapeurs-Pompiers et des élus, la cérémonie s’est poursuivie devant le Monument aux Morts où trois jeunes membres du Conseil municipal Jeunes, donnaient lecture du message de l’Union Fédérale des Associations Françaises d’Anciens Combattants (UFAC).

    Monsieur Daniel SPAGNOU donnait ensuite lecture du message du Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la défense, chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire, avant de déposer une gerbe au pied du monument.

    Avant « La sonnerie aux Morts » demandée par Monsieur Marius URSO, Président de l’Amicale des Anciens Combattants, c’était au tour du Sénateur de déposer une gerbe à la mémoire de nos « Morts pour la France ».

    Une minute de silence était observée puis les Touristes des Alpes entamaient « La Marseillaise » suivie de la musique du « pas redoublé », clôturant ainsi cette cérémonie au Monument aux morts.

    Tous les participants étaient ensuite conviés par Monsieur le Maire dans les salons de l’Hôtel de Ville pour lever le verre de l’amitié.

    Dans son allocution, Daniel SPAGNOU rappelait la cruauté des guerres et les pertes humaines immenses, civiles ou militaires qu’elles engendrent, et rendait hommage aux soldats morts en missions extérieures ces dernières années, et notamment au Mali où, le 4 novembre dernier, le Maréchal des Logis-Chef, Fabien JACQ, a perdu la vie. Il engageait chacun à témoigner encore et encore, « à transmettre son histoire ou celle de ses parents « pour que toutes les victimes de guerre restent dans nos mémoires. « C’est ainsi que nous garderons vivante la reconnaissance que nous leur devons. »

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