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  • TROIS ANS D’ACTION AU SERVICE DES FRANCAIS


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    « Trois ans après l’élection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République française, l’heure n’est pas au bilan. Face à la crise dont les effets perdurent, le temps demeure résolument à l’action. Le président de la République a été élu pour cinq ans par les Français. Ce n’est qu’au terme de ces cinq années qu’un bilan complet pourra être tiré. Il reste encore près de deux ans de travail au gouvernement et à la majorité pour tenir tous les engagements pris en 2007.

    Cependant, après trois années de travail au service des Français, il est s’avère utile de détailler, pour chacun des objectifs principaux de l’action du chef de l’État, les réformes engagées, les résultats obtenus, ceux qu’il reste à obtenir et les nouveaux chantiers à venir. »

    C’est ainsi que le député Daniel SPAGNOU et sa suppléante Geneviève DIGUET se sont exprimés ce jeudi 6 mai, rappelant les nombreux textes législatifs qu’il a lui-même votés ainsi que son attachement au Président « dont le courage et l’énergie sont entièrement voués aux français et dont l’amour de la France porte un engagement total pas toujours compris mais dont la pays récoltera les fruits ».

    Les Français ont élu Nicolas Sarkozy sur la base d’un programme clair, complet et précis. Pour le chef de l’État, il fallait « tout dire aux Français avant, pour pouvoir tout faire après ». Ce projet de Nicolas Sarkozy s’appuyait sur un diagnostic approfondi des difficultés, des injustices mais aussi des espoirs de la société française. Au terme d’une élection présidentielle marquée par une participation sans équivalent, ce projet a reçu le soutien d’une majorité très nette des français.

    Jusqu’à ce que la crise financière éclate à l’été 2008, toute l’énergie du gouvernement et de la majorité a été tournée vers la mise en œuvre des priorités inscrites dans le projet présidentiel: restaurer l’autorité, réhabiliter le travail et replacer la justice au cœur du modèle français. Ce respect de la parole donnée aux Français constitue une rupture très profonde avec les pratiques antérieures: Nicolas Sarkozy est toujours resté fidèle à ses engagements de campagne.

    Au second semestre 2008, face à la récession la plus grave que le monde et la France aient connue, l’ordre des priorités a dû être modifié. Naturellement, face aux périls qui menaçaient, la priorité a été donnée à la lutte contre la crise et à la limitation de ses effets les plus néfastes pour les français. L’action du chef de l’État a d’abord consisté à engager l’État dans un soutien massif, sans précédent et indispensable à l’économie française.

     

    Sur l’initiative de Nicolas Sarkozy, la France a, ensuite, pris la tête d’une vaste mobilisation européenne et internationale au sein du G20. Il était impératif de coordonner les efforts de relance pour consolider la perspective d’un retour de la croissance. Et il était tout aussi crucial de progresser, enfin, vers une véritable régulation du capitalisme financier.

    À ce jour encore, sortir la France de la crise demeure la priorité absolue de l’action du Président. Pour autant, aucune des réformes annoncées n’a été différée. Dans la crise et malgré elle, les engagements de Nicolas Sarkozy ont continué à être mis en œuvre. Dans la crise, les valeurs de travail, d’autorité, de responsabilité sont demeurées les valeurs essentielles défendues par le gouvernement. Dans la crise, certaines réformes ont même été accélérées, notamment les plus nécessaires à l’attractivité du territoire national et à la préparation de l’avenir. « Car c’est lorsque les temps sont les plus durs, qu’il faut travailler le plus ardemment au rebond à venir. Il ne saurait être question ici de manifester la moindre autosatisfaction. La crise n’est pas terminée. Qui pourrait s’estimer satisfait alors que le chômage ne recule pas encore? Qui pourrait songer à relâcher les efforts, lorsque les conséquences de la crise fragilisent des pans entiers de notre protection sociale comme les retraites? Qui pourrait imaginer revenir au monde d’avant, lorsque les déficits publics creusés par les pertes de recettes menacent de faillite des pays voisins et amis? Partout, le travail à accomplir reste immense » rajoutait le député maire de Sisteron.

    Mais il ne saurait être question non plus à ses yeux d’ignorer le chemin parcouru depuis trois ans, d’oublier les nombreuses réformes déjà accomplies ou de négliger les progrès déjà obtenus. « Ignorer que la France a déjà changé, ce ne serait pas rendre justice aux Français des efforts importants qu’ils ont déjà faits. Or, la justice est plus que jamais au cœur de l’action du président de la République. C’est elle qui guidera demain les réformes indispensables qui restent à accomplir, à l’instar de la réforme des retraites. C’est la justice, enfin, qui appelle désormais une mobilisation totale du gouvernement, de la majorité et des pouvoirs publics, pour mettre à la disposition des Français, dans les mois à venir, les résultats attendus et partager avec eux le fruit de tous ces efforts » devait conclure Daniel SPAGNOU.

    Sisteron, le 6 mai 2010

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