PARC ANIMALIER DE SAINT-GENIEZ – LA VALLEE SAUVAGE: PAISIBLE ET AGREABLE
Histoire de passion et d’aventure, la Vallée Sauvage a été créée par la famille De Mortier dans les années 1990. Passionnés de nature et d’animaux ils reprennent une installation agricole à Saint-Geniez, qu’ils transforment en un vaste parc rural. Désormais le parc est grand de 17 hectares et 15 espèces d’animaux différents.
Un parc en avance sur son temps: L’idée de Monsieur De Mortier était simple : créer un parc en parfaite harmonie avec la nature du site. En voulant préserver l’environnement et la géologie, c’est à la fois un plus pour les animaux qui se sentent en liberté, que pour la préservation de notre patrimoine naturel. Cette vision est devenue une tendance que tous les parcs zoologiques tentent désormais de reproduire.
Le parc animalier est le seul site de ce genre dans le département et n’aura demandé que très peu d’investissement, si ce n’est du temps et de la passion pour aménager les enclos. Un travail titanesque réalisé presque entièrement par la famille De Mortier.
Près de 20 ans plus tard, l’objectif initial est atteint avec 10.000 visites annuellement. Le succès s’étend au-delà du département car il accueille même des élèves venus de Marseille.
Après le succès, de nouveaux objectifs à atteindre: Aujourd’hui le parc compte 6 employés. Si la volonté sera toujours de s’inscrire dans une dynamique de partage et de respect de la nature, Monsieur De mortier pense déjà à la suite : pérenniser l’aventure. Pour cela les idées sont nombreuses : accueillir de nouveaux groupes de visiteurs, se tourner vers une nouvelle clientèle et surtout surfer sur la tendance du e-working.
Madame Barbero Lucienne, maire de Saint-Geniez avec Madame Palomba (conseillère municipale de la commune), accueillaient le président de la Communauté de Communes et le vice-président en charge du tourisme, Monsieur Duranceau. La visite de Monsieur Spagnou aura permis d’échanger autour du futur du parc. Notamment dans l’idée d’inciter les touristes à se déplacer sur le territoire pendant leur séjour. Monsieur Spagnou soulignait alors la chance unique de disposer d’un tel parc pour la CCSB. Depuis la création du parc, le président croit au potentiel de ce concept. Il y a 17 ans, il avait même parrainé le premier chamoix.