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  • DANIEL SPAGNOU, INVITE D’HONNEUR DU FESTIVAL DE VOLONNE 2009


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    Le 14ème Festival du Livre et des Métiers du Livre de Volonne –  4ème édition sur la Nature et l’Environnement  – avait pour thème spécifique cette année « L’Eau et l’Air ».

    Spectacles, conférences ateliers et interventions scolaires étaient au programme ainsi que le forum des auteurs, et les expositions, pour attirer un nombreux public,  concernés et intéressés par cette problématique environnementale qui petit à petit fait partie intégrante du quotidien de tout à chacun.

    Inauguré par Jacques BONTE, Maire de Volonne, en présence de Claude FIAERT Délégué à la Culture de la Communauté de Communes Moyenne-Durance, Eliane BARREILLE Conseillère Régionale, Robert GAY Maire de Mison, ce festival du livre avait pour parrain le Député Maire de Sisteron, Daniel SPAGNOU.

    Dans son allocution, Daniel SPAGNOU soulignait le chemin parcouru dans la prise de conscience unanime qui fait que nul ne peut aujourd’hui sous-estimer les conséquences néfastes de l’activité humaine sur l’environnement. Il rappelait la formidable motivation qui a entraîné des centaines de personnes de tous horizons à se réunir dans un débat serein pour le Grenelle de l’Environnement. Tout le monde est concerné et le prouve : « ce changement d’attitude est une révolution. Car nos concitoyens ont compris que la lutte contre le réchauffement de la planète ou contre les pollutions n’était pas qu’une série de déclarations d’intention, un dialogue entre experts ou entre chefs d’Etat, des lois, des décrets ou des traités internationaux, mais d’abord un ensemble de décisions individuelles et de réflexes de la vie quotidienne ».

    Il affirmait qu’il fallait révéler le potentiel de croissance de certains secteurs d’activité, que la protection de l’environnement ne doit pas être le prétexte à une hausse globale de la fiscalité, que personne ne doit être laissé dans une impasse. « On ne peut pas d’un côté demander aux gens de changer de voiture, de mode de transport ou plus globalement de comportement, si de l’autre côté, on n’est pas capable de leur proposer de vraies alternatives efficaces et crédibles ».  Mais aussi que « seule une action territoriale, au plus près des réalités quotidiennes permettra de changer les comportements en profondeur. »

     

    Sans oublier la nécessité d’engager une action relayée au plan international afin que son efficacité soit complète. Le sommet de Copenhague en décembre était, de ce point de vue, capital pour l’avenir.

     

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