LE GROUPE SCOLAIRE DES PLANTIERS PORTERA DESORMAIS LE NOM DE PIERRE MAGNAN
L’Ecole élémentaire des Plantiers porte désormais le nom de Groupe Scolaire Pierre Magnan, « un nom porté par un homme et son immense œuvre,… un infatigable de la plume, un homme généreux, franc et sincère », tel que le décrit le Député Maire de
Dans la cour de l’école où tous les élèves et enseignants de maternelle et de primaire étaient réunis, c’est en présence de M. Mickaël DORE Sous-Préfet, de Claude BREMOND Conseiller Général, de l’Inspecteur d’Académie Didier VIN-DATICHE, de J.-Marie KROCZEK Inspecteur de l’Education Nationale, de Daniel SPAGNOU Député Maire, et aux côtés de son épouse, que Pierre MAGNAN a dévoilé la plaque qui porte son nom.
Cette cérémonie était un véritable hommage à l’un des écrivains les plus connus de notre département, et donner le nom d’une personnalité à un établis
Pierre MAGNAN, en 2002 à l’occasion de la sortie de son livre, « L’enfant qui tuait le temps », qu’il a fait distribuer dans toutes les écoles de France, et a apporté lui-même son manuscrit dédicacé dans chaque école sisteronaise. Une démarche qui honore cet illustre écrivain qui n’en finit pas de nous étonner, de nous faire rêver et voyager au plus près de l’essence même de notre pays provençal.
Autodidacte, Pierre Magnan, est entré très tôt dans la vie active incorporant les chantiers de jeunesse, réfractaire au service du travail obligatoire pendant la guerre il se réfugie dans le maquis de l’Isère et mènera le combat de
Né à Manosque, l’écrivain vit aujourd’hui à Forcalquier, mais n’en est pas moins attaché à
Textes de l’auteur et saynètes déclamées par Alain PUDAL lecteur, des Archives Départementales, et les comédiens du Théâtre TRAC de Beaumes-de-Venise ont apporté leur contribution à l’hommage qui lui était rendu ainsi que les enfants de maternelles et de primaire dans un bel élan d’émotion.
Pierre MAGNAN s’est vu offrir son portrait par la Municipalité, remarquablement réalisé par l’artiste locale, Martine TRON.
Le baptême de cette école laissera à ceux qui étaient présents, outre le fait d’avoir assisté à une belle cérémonie, la fierté et le plaisir de la rencontre avec Pierre Magnan, qui – pour le plus grand plaisir de ses fidèles lecteurs – met la dernière main à son livre « Elégie pour Laviolette », et qui nous laisse la promesse de deux autres ouvrages, l’un inspiré de la vie de Jean GIONO, et l’autre sur ses inimitiés avec Paris et ses tribulations avec ses prix littéraires.