LA DEPENSE PUBLIQUE EN QUESTION
Dans un contexte où les français et la situation économique difficile exigent de l’Etat d’intervenir davantage pour sauvegarder les emplois et soutenir les plus fragilisés – au moment où la crise historique frappe tous les pays y compris la France – les décisions de mettre en place des outils pour préserver le système bancaire, calmer les marchés, ainsi que les différents plans de relance et aides sectorielles, sont autant d’éléments qui contribuent à l’accrois
C’est dans ce contexte que de nombreux Députés, sur l’en
Il rappelait que le niveau d’endettement actuel qui atteindra 1 144 milliards d’euros en 2009, restreint fondamentalement les possibilités pour les politiques publiques.
S’appuyant sur une présentation détaillée, le Député Maire de Sisteron, démontrait la nécessité de faire des économies. 58 Milliards par an à partir de 2012, afin d’atteindre l’équilibre budgétaire en 2014.
Le décor planté, le débat pouvait s’engager. C’est ainsi que les socio-professionnels ont surtout insisté sur les conséquences des 35 heures, sur la nécessité de revoir les structures institutionnelles en France, trop coûteuses, ainsi que sur la suppression de
Réformer l’organisation des Collectivités Locales et Territoriales par souci d’économie et d’efficacité ; mutualiser la commande publique ; intensifier la lutte contre les fraudes ; rationnaliser les subventions de l’Etat aux entreprises, syndicats et associations ; donner plus de moyens d’actions aux Chambres Régionales des Comptes ; inscrire dans la constitution une règle d’or en matière budgétaire consistant à n’autoriser le déficit budgétaire que pour financer les dépenses d’investis