J’ai commencé en tant que président de la Communauté de Communes du Sisteronais-Buëch, une série de visioconférences avec les maires des quatre arrondissements de notre département.

Parmi les sujets abordés, la mise en place très compliquée de l’ouverture des écoles le 12 mai prochain, la pénurie de masques (les commandes n’arrivant jamais), la responsabilité des Maires concernant la réouverture des écoles, le coût exorbitant de cette réouverture pour les collectivités et l’annonce de l’arrivée des gens du voyage.

En deux visioconférences, trente maires se sont déjà connectés.

Image des plus cocasses que ce magnifique chevreuil qui traverse dans les clous devant la gendarmerie de Sisteron en plein milieu de l’après-midi. Avait-il son attestation de déplacement dérogatoire ?

J’ai assisté mardi 5 mai à une visioconférence accompagné de Madame Laurence BERMOND, directrice de l’économie à la Communauté de Communes du Sisteronais-Buëch avec Monsieur David GEHANT, président de la Commission Aménagement du territoire et Infrastructures numériques dont le thème était : La présentation du Plan d’Urgence, de solidarité et de relance de la Région Sud initié par Monsieur Renaud MUSELIER, président du Conseil régional.

Bravo et mille fois merci aux professeurs de l’école de musique intercommunale Sisteronais-Buëch, sous la houlette du directeur Antoine ROSSFELDER, pour leur concert vidéo sur Internet. La vidéo est visible sur la page facebook de la Communauté de Communes du Sisteronais-Buëch.

En ce 1er mai Fête du travail, j’ai assisté durant deux heures à une visioconférence avec Monsieur François BAROIN, président de l’Association des Maires de France (AMF) au sujet du déconfinement et de la difficile question de la reprise des écoles le 11 mai prochain. Dans les prochains jours, la décision la plus sûre sera prise dans l’intérêt des enfants, des enseignants et des parents.

Une gerbe de fleurs a été déposée ce matin vendredi 1er mai, devant la stèle du Commandant Wilmart et Julien Masselier, deux soldats sisteronais fusillés à La Baume pendant la seconde guerre mondiale. Nous ne les oublions pas.