LE VIOLON À L’HONNEUR POUR LES 70èmes NUITS DE LA CITADELLE
25 juillet 2025
LE BISTROT DE VALERNES
24 juillet 2025Avec mon petit fils Thomas, je suis allé déjeuner chez deux membres du Cos rugby de Sisteron. Alan et Corentin ont ouvert en effet un charmant restaurant « Le Bistrot de Valernes » depuis mars dernier. Ils vous accueillent en plein centre du village du mardi au dimanche dans un cadre bucolique et reposant. Et l’on y mange très bien !
DOMINIQUE DUFOUR QUITTE LES HAUTES-ALPES
24 juillet 2025J’apprends le départ du Préfet des Hautes-Alpes Monsieur Dominique DUFOUR. J’ai beaucoup apprécié notre collaboration en tant que Président de la Communauté de Communes Sisteronais-Buëch. C’est un sentiment de regrets que j’éprouve aujourd’hui car sa présence et son leadership ont été des piliers essentiels pour notre collectivité territoriale. Je lui souhaite le meilleur pour la suite de ses projets personnels et professionnels, tout en le remerciant pour son dévouement et son service exemplaires.
RENCONTRE AVEC LE DEPUTE CHRISTIAN GIRARD
23 juillet 2025« LES NUITS DE LA CITADELLE, HISTOIRE D’UN FESTIVAL » VIENT DE PARAÎTRE
22 juillet 2025
« JUNIOR BALLET DE L’OPÉRA NATIONAL DE PARIS » AUX 70èmes NUITS DE LA CITADELLE
21 juillet 2025Pour ce premier rendez-vous des Nuits de la Citadelle, vendredi 18 juillet, Place à la virtuosité et à la grâce avec les étoiles montantes du Junior Ballet de l’Opéra de Paris. Conçue comme une pépinière de talents, cette toute jeune compagnie née en 2024 réunit 18 danseurs de 18 à 23 ans venus du monde entier.
À travers une suite de solos, pas de deux et ensembles signés par des chorégraphes mythiques comme George Balanchine avec Allegro Brillante ou contemporains comme Béjart et sa Cantate 51, véritable ode à la joie ou encore Annabelle López Ochoa et son Requiem for a Rose. Un programme éclectique et très séduisant pour ouvrir en majesté ces 70es Nuits de la Citadelle.
SOIRÉE DES SOSIES
18 juillet 2025LA MINISTRE DE L’AGRICULTURE À L’ÉCOUTE DES ÉLEVEURS
17 juillet 2025Madame Annie GENEVARD, Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire s’est rendue ce matin à Sisteron. Elle a choisi le Gaec géré par M. et Mme Garcin chez qui je l’ai accueillie avec les parlementaires et le Préfet, afin de réunir toute la filière ovine, bovine et caprine, pour parler du pastoralisme. Après avoir visité l’exploitation des époux Garcin, et écouté les explications de ces derniers quant à l’agneau de Sisteron, la Ministre a écouté religieusement tous les représentants des filières qui évoquaient leurs doléances, sans oublier le président de la Chambre d’Agriculture Laurent Depieds. Ce dernier a évoqué la concurrence des marchés mondiaux et européens, le poids de l’administratif et bien sûr le sujet récurrent du moment, à savoir l’occupation des terres agricoles par les gens du voyage. Tous les syndicats ont stigmatisé un certain relâche quant à la régulation du loup, alors que les prédations sont en augmentation, y compris sur les troupeaux bovins.
Notre région compte 650 000 ovins et 70 000 bovins, soulignait le représentant de la FDSEA qui déplorait la perte de quelque 25 000 éleveurs, en réclamant une vraie solution pour notre département qui est malheureusement le référent historique de la prédation du loup. Les Jeunes Agriculteurs ont interrogé la Ministre sur la Politique Agricole Commune tout en alertant sur la peste porcine qui se trouve aux portes de l’Italie. Les maladies contagieuses furent également évoquées et notamment la dermatose nodulaire bovine qui fait des ravages pour l’instant en Savoie et Haute-Savoie et que la Ministre a dit vouloir juguler par un programme de vaccinations important. Du côté de l’abattoir de Sisteron, premier abattoir ovin de France et second d’Europe, on a alerté sur sa santé financière mise à mal par la crise économique : « si nous voulons rester les premiers de France, il faudra nous aider à investir. »
Les chasseurs du département ont fait savoir à la Ministre qu’ils se mettaient à sa disposition pour réguler le loup : « nous sommes 7000 chasseurs, dont 3000 formés à lutter contre ces prédateurs et nous intervenons gratuitement », a précisé M. Pesce.
La Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a remercié Guillaume Garcin pour avoir soutenu qu’il ne fallait pas opposer les éleveurs entre eux. « Il ne faut pas avoir honte de produire ; quand je suis à l’Europe, je peux vous certifier que la voix de la France est toujours requise, car nous sommes un grand pays d’élevage », a précisé Annie GENEVARD. La Ministre a encore indiqué qu’elle se bat depuis des mois pour obtenir une minorité de blocage sur le Mercosur : « je veux que mes enfants et petits-enfants continuent de manger de l’agneau de Sisteron et de l’agneau français, et qu’ils se remettent aussi à manger du poulet français, ce qui est de moins en moins le cas.
Quant ’au loup, la Ministre a précisé qu’elle travaille depuis longtemps sur ce sujet. « Le loup est enfin déclassé au niveau européen. Je suis pour la révision du quota en respectant la conservation de l’espèce, car sinon, l’Europe reprendra les choses en mains. Le dernier comptage a conclu à une baisse du quota ; or il y a plus de prédations ! C’est Kafkaien ! » Un espoir est peut-être né du côté de Lyon concernant la lutte contre le loup, car la Ministre a indiqué que des chercheurs sont en train de travailler sur un répulsif odorant qui éloignerait le prédateur…
Enfin, avant de partir pour Montfuron, où la Ministre devait visiter une exploitation cultivant la pistache, Annie GENEVARD a indiqué que l’année 2026 serait l’année du pastoralisme et qu’elle y travaille afin que cette opération soit une réussite.
MONSIEUR MOHAMMED AYACHI DIT MOMO NOUS A QUITTÉS
15 juillet 2025C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès de Monsieur Mohammed AYACHI. C’était un homme de grande qualité, ami de beaucoup de Sisteronais et des habitants de Bourg-Reynaud en particulier. Gentil, serviable, discret, travailleur, très respectueux et d’une politesse exemplaire, Monsieur AYACHI était très attaché à Sisteron et aux valeurs de notre République.
Il ne manquait jamais une cérémonie patriotique et j’ai pu mesurer toutes ses qualités dans les relations que nous avions, car quand j’avais besoin d’un conseil, il savait avec mesure me conseiller. Il adorait jouer aux boules et ses amis boulistes, le pleurent. C’était aussi un turfiste avisé. J’avais eu la joie et l’émotion de lui remettre la médaille des anciens combattants et des Harkis en présence de Monsieur le Préfet à l’Hôtel de Ville. Ce jour-là, sa reconnaissance se voyait dans ses yeux.
À son épouse, ses enfants, petits-enfants et toute la famille, j’adresse en mon nom personnel et au nom des Sisteronais, mes plus sincères condoléances et mes plus amicales pensées.