Jeudi 3 mars, Corinne GHESQUIER, Proviseure de la cité scolaire Paul Arène de Sisteron, présentait l’exposition dans l’atrium du bâtiment administratif du lycée Paul Arène de Sisteron et en partenariat avec le Centre National des Arts Plastiques, de deux tableaux de Mario PRASSINOS, prêtés par le musée Estrine de Saint Rémy de Provence. (L’artiste peintre non figuratif français d’origine grecque de la nouvelle école de Paris est né le 30 juillet 1916 à Constantinople et mort le 23 octobre 1985 à Avignon.) En présence de Daniel SPAGNOU, maire de Sisteron.

Mario PRASSINOS est le concepteur des grandes céramiques murales qui ornent le hall, l’atrium ainsi que de la stèle de la cour, depuis de nombreuses décennies. Les deux tableaux présentés appartiennent à la série « Les Alpilles » et apportent un éclairage sur son travail d’atelier.

Les élèves de la spécialité Histoire des Arts durant l’année scolaire 2020 et 2021 ont créés 6 kakemonos avec l’aide d’une graphiste, Annie KERGOAT, permettant ainsi, de faire connaissance avec l’œuvre de ce peintre et avec la genèse des céramiques.

© succession Mario Prassinos, ADAGP Paris 2022

En raison du grand nombre de demandes d’emplois saisonniers pour la saison estivale 2022 reçues en Mairie de Sisteron, les candidatures sont closes à compter du 02 MARS 2022.

Toutes les demandes reçues à compter de cette date sont mises en attente et seront réexaminées au fur et à mesure des désistements éventuels.

Mardi 1^er mars, l’ambiance était au rendez-vous à l’Alcazar pour le traditionnel cabanon du Comité des fêtes de Sisteron à l’occasion du carnaval et prendre des forces avant le défilé de la dizaine de chars un peu plus tard dans l’après-midi. Au  programme, pois chiches, saucisses et pieds et paquets Sisteronais.

« Encore bravo et merci pour toute cette énergie au profit de l’animation de notre belle cité. Ça fait du bien par les temps qui courent », dira le maire de Sisteron.

Mardi 1^er mars, en Mairie de Sisteron, Daniel SPAGNOU, Président de l’Association des Maires du département (AMF04) et Jean-Louis CHABAUD, Président de l’association des Maires ruraux (AMRF), en présence de Philippe DAUMAS, Délégué Régional chez Orange Provence Alpes Méditerranée, Clémence MONDOR, Directrice des relations institutionnels chez Orange et Isabelle MORINEAUD, Conseillère départementale représentante Madame Éliane BARREILLE, Présidente du Conseil départemental, étaient réunis pour la signature de la Charte élagage avec l’opérateur Orange.

Cette charte va faciliter la coopération entre Orange et les élus des Alpes-de-Haute-Provence afin de prévenir l’endommagement des réseaux aériens grâce à une démarche collective et concertée pour entretenir de manière pérenne la végétation à leurs abords. En effet, les frottements sur les câbles ou les chutes de branches en cas d’intempéries sont une cause importante d’arrachages de câbles ou de dysfonctionnements sur les réseaux. Un élagage plus efficace et régulier permettrait ainsi de diminuer de 50% les incidents sur les réseaux, alors même que la connectivité est un élément essentiel à la vie sociale et économique pour tous les territoires. L’entretien et la sécurité des réseaux sont une priorité pour les élus mobilisés au quotidien et pour Orange qui consacre chaque année 500 millions d’euros à leur maintenance préventive et curative. Le budget consacré aux opérations de maintenance préventive est d’ailleurs en hausse de 24% par rapport à 2018 pour chaque ligne cuivre en service.

Avec cette charte, l’AMF, l’AMRF et Orange s’engagent ainsi à coopérer afin de fluidifier le processus d’élagage, qu’il se réfère au domaine privé ou public, en renforçant notamment l’information auprès des élus et des habitants. Un correspondant élagage Orange accompagnera les Maires afin de sensibiliser les propriétaires à élaguer régulièrement et être en conformité.

La signature de cette charte s’inscrit dans la poursuite de l’engagement d’Orange à améliorer la qualité du réseau cuivre et de son plan de renforcement annoncé en mai 2021. C’est aussi, une première étape qui permettra à l’issue d’une période d’une année de réaliser un bilan et une évaluation des actions mises en place par les parties prenantes.

Quel plaisir de voir l’engagement de ces jeunes sapeurs-pompiers actuellement en formation à la section des JSP du collège Marcel MASSOT à La Motte-du-Caire. Aux côtés notamment de la préfète Violaine DÉMARET, de la Sous-Préfète Natalie WILLIAM, du sénateur Jean-Yves Roux, de la présidente du département Eliane BARREILLE, de la conseillère départementale Evelyne FAURE, du maire de La Motte-du-Caire Jérôme FRANCOU, du président du SDIS et conseiller départemental Jean-Claude CASTEL, du directeur Académique de l’Education Nationale Frédéric GILARDOT, du colonel Christophe PAICHOUX directeur du SDIS, nous avons en effet pu mesurer cet après-midi le sérieux et la passion qui animent ces jeunes gens à l’occasion d’une démonstration de secours à victime lors d’une simulation d’incendie. Créé en 2019, grâce à la forte implication du sénateur ROUX, aidé tel qu’il l’a d’ailleurs souligné, par Christophe CASTANER, député, mais aussi le Département et l’Éducation Nationale, cette section accueille chaque mercredi après-midi de jeunes garçons et filles de la 5^e à la 3^e pour une formation de trois ans qui leur permet ensuite d’être présentés au Brevet National des Jeunes Sapeurs-Pompiers. Ce sera d’ailleurs le cas cette année pour dix d’entre eux qui achèvent leur formation.

Pour l’année prochaine, une nouvelle promotion fera son entrée et si celle-ci compte 20 élèves, l’Education nationale s’est dit prête, par la voix du Directeur académique, à ouvrir une seconde classe ! Et pour leur permettre de poursuivre leurs études dans la même branche, une réflexion est engagée sur la création après la 3^e d’un bac pro sécurité à Sisteron. Un projet qui me tient à cœur et qui est actuellement à l’étude, soutenu par de nombreux élus dont le sénateur mais aussi les services de l’Etat tel que l’a indiqué Madame la Préfète.

Je me suis rendu cet après-midi à l’école Simone-Veil au quartier de la Baume afin de présenter aux côtés Pierre BUYSSCHAERT, inspecteur de l’Education ; Cécilia LOUVION, adjointe aux affaires scolaires ; Emilie SCHMALTZ, conseillère municipale déléguée à la Santé et Cathy DAUMAS, directrice de l’école Simone-VEIL, les capteurs de mesure du CO2 désormais installés dans toutes les classes des écoles de Sisteron.

Dans une pièce, telle que cette classe de CE1-CE2 de Céline PAYAN, professeurs des Ecoles, où nous étions, la présence de dioxyde de carbone est normale car ce gaz est naturellement rejeté par l’organisme. La mesure de ce gaz permet de connaître la qualité de l’air et celle de la ventilation de la classe. Cette mesure du CO2 dans l’air ambiant s’avère également très utile dans le cadre de la lutte contre la Covid et c’est là une raison supplémentaire à l’installation de tels capteurs. Installé dans une classe, le capteur permet en effet de déterminer la qualité de l’air d’une pièce et le risque de contamination par la Covid-19. Selon les autorités de santé, si une salle de classe dépasse un taux de dioxyde de carbone de 1000 Parties Par Millions, cela signifie que l’air est mal renouvelé et donc que le virus peut être potentiellement présent et qu’il faut aérer la pièce. Lorsque le niveau de CO2 est en passe d’atteindre le seuil fixé et donc une qualité de l’air dégradée, une première alarme visuelle de couleur orange apparaît sur le boîtier et invite à envisager l’aération de la classe.  Si celle-ci n’est pas faîte au bout de quelques minutes, une seconde alarme visuelle, cette fois-ci rouge, vous rappelle avec insistance de le faire.

Ces boîtiers ont été acquis par la Ville auprès d’une entreprise sisteronaise, la société REXEL. Ils ont été installés par des agents municipaux du service électrique sous la responsabilité d’Arnaud LABEYE avec le concours en amont de Patrick San Cirilo, notre responsable sécurité. Au total, une enveloppe de 5105,52 euros a été consacrée à ces équipements fortement recommandés par le Ministère de l’Education Nationale, qui nous a d’ailleurs indiqué que la subvention prévue serait multiplié par 4 ! Soit, une prise en charge quasi-totale du prix d’achat de ces boîtiers.

Un système d’alerte anti-intrusion et attentats

Enfin, l’installation de ces capteurs s’ajoutent à un autre système déjà en place dans le cadre du Plan Particulier de Mise en Sûreté des écoles et des restaurant scolaires. En cas d’intrusion d’un ou plusieurs individus mal intentionnés, le personnel peut en effet déclencher via le bouton poussoir de l’un des boîtiers anti intrusion ou attentat, un signal d’alerte. Ce signal va alors générer une alarme lumineuse dans toutes les salles équipées et l’envoi simultané d’un message SOS aux forces de l’ordre. Outre le bouton d’alerte de chaque boîtier fixe, deux balises mobiles permettent également à chaque école de déclencher l’alerte quel que soit l’endroit, à l’intérieur de l’établissement ou à l’’extérieur, par exemple lors d’une sortie scolaire.

Pour l’installation de ce système d’alerte, la Ville a consacré une somme de 24 000 euros hors installation par les Services de la Ville, subventionnée par l’Etat dans le cadre du Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance.  Entre l’achat du matériel de mesure du CO2 et des boîtiers d’alerte anti-intrusion ou attentat ce sont ainsi plus de 30 000 euros qui auront été consacrés à la sécurité de nos écoliers et des personnels, sans compter la pose prochaine de caméras de surveillance aux abords des écoles. La sécurité de nos enfants est primordiale et prioritaire, nous le prouvons une fois de plus aujourd’hui. Ces investissements qui ont été salués par l’Inspecteur d’académie qui a d’ailleurs indiqué que « Sisteron fait figure de fer de lance ! ».

J’ai également profité de ma présence dans cette école pour annoncer que nous avions signé l’achat du terrain jouxtant le parking du groupe scolaire en vue de la construction de la future cantine dont la mis en service est prévue pour 2026.