Les rafales de vent qui soufflent depuis ce matin à plus de 80 km/h par moments ont eu raison en ce début d’après-midi d’une imposante branche du platane situé en bordure de route au bas de l’Hôtel de Ville, près de l’Office de tourisme. Par chance, aucun piéton n’était alors sur le trottoir et aucun véhicule n’a été touché !

La Police municipale a immédiatement installé un périmètre de sécurité dans l’attente de l’arrivée sur place quelques minutes après des services techniques qui ont procédé au tronçonnage de la branche et à son évacuation.

Quel bonheur, de pouvoir profiter de quelques jours de repos à La Conche (1500 mètres d’altitude), entouré de ma famille et des mes amis à deux pas de ma famille de cœur, les Couttolenc au Soleil des Neiges du Sauze.

Cultivée, directe et espiègle à la fois, je garde un excellent souvenir de Madame Geneviève de Fontenay qui avait inauguré la foire expo de Sisteron en 2002, puis je l’avais accueillie lors du concours Miss Provence en 2009 qui fut un grand succès populaire. Je lui avais remis la médaille de la ville.

Pour ce quatrième rendez-vous des Nuits de la Citadelle, lundi 31 juillet, « Lawrence d’Arabie », d’Éric Bouvron et librement inspiré de la vie de Thomas Edward Lawrence, s’invitait au Théâtre de la Citadelle.

L’Orient s’invite à la Citadelle avec l’évocation du grand Lawrence d’Arabie ! Théâtre rêvé que cette altière forteresse pour accueillir la pièce d’Éric Bouvron. L’auteur et metteur en scène nous embarque dans les grands espaces désertiques pour raconter le destin de ce jeune archéologue Britannique, orientaliste chevronné, propulsé par l’armée au cœur de la révolte arabe contre l’empire ottoman lors de la première guerre mondiale.

Un spectacle d’aventures servi par une soixantaine de personnages joués par huit comédiens et trois musiciens-chanteurs de talent qui a réjoui les amateurs de théâtre. Très cinématographique avec son subtil jeu de lumière, la mise en scène nous invite à l’imaginaire. « Je souhaite, confie l’auteur, que le spectateur sorte du théâtre en ayant la sensation d’avoir voyagé, d’avoir appris des choses et surtout d’avoir vécu une grande histoire d’aventure ». Avec cette soirée qui fera date, ce fut chose faite.

Le COS Rugby est en deuil tout comme le village de Claret, les amis et les parents de Clément Payan que tout le monde appelait affectueusement « Firmin », disparu tragiquement samedi après une sortie de route en voulant éviter un sanglier. C’est une belle personne qui nous quitte, passionnée de sport et de nature. J’adresse mes sincères condoléances au nom de la ville de Sisteron et en mon nom propre à sa famille, ses amis et au COS Rugby.